Joyeuses Fêtes

Joyeuses FêtesBonjour à tous

J’aimerais prendre quelques minutes pour vous souhaiter un Joyeux Temps des Fêtes. J’aimerais également vous remercier pour l’intérêt pour vous portez à mes publications ainsi qu’au bons commentaires que vous m’avez fait parvenir. Pour ceux et celles d’entre vous qui sont sous mes soins chiropratiques, j’aimerais vous remercier pour votre confiance et sachez que je continuerai de faire tout ce qui est en mon pouvoir pour continuer à vous donner les meilleurs soins possibles.

Joie, bonheur et santé à tous pour 2014

Dr André Emond
Votre chiropraticien de famille

P.s. Voici mon horaire pour les Fêtes:

  • 23 décembre: 7h à 19h
  • 24, 25, 26 décembre: Fermé
  • 27 décembre: 7h à 12h
  • 28 décembre au 2 janvier: Fermé
  • 3 janvier: 7h à 12h
  • Horaire régulier à partir du 6 janvier 2014

La chiropratique et les vertiges positionnels bénins

La chiropratique et les vertiges positionnels béninsLe sujet d’aujourd’hui porte sur les vertiges. Les vertiges sont généralement décrits comme le sentiment que notre environnement tourne autour de nous (perte d’équilibre, étourdissement). Il est important de savoir que plusieurs conditions de santé peuvent causer des vertiges, allant de conditions bénignes à des conditions beaucoup plus graves. Cet article porte sur le type le plus fréquent de vertiges, c’est à dire le vertige positionnel bénin.

Ce type de vertige affecte légèrement plus les femmes que les hommes et est plus fréquent entre 50 et 57 ans.

Il existe différentes théories pour expliquer les vertiges positionnels bénins. Une de ces théories est la formation de petites “particules” appelées “otolithes” dans les canaux semi-circulaires de l’oreille interne. Les canaux semi-circulaires sont en fait des canaux remplis de liquide qui envoient des informations au cerveau concernant notre position, participant ainsi au maintien de notre équilibre. Lorsqu’il y a la présence de petites particules dans les canaux, les messages envoyés au cerveau se retrouvent faussés, engendrant ainsi le sentiment que notre environnement tourne autour de nous.

La durée des vertiges peut aller de quelques secondes à plusieurs minutes selon le patient. Il est également possible que certaines personnes éprouvent des nausées ou des vomissements. Généralement, selon la direction que le patient bouge sa tête, les vertiges auront tendance à augmenter ou diminuer.

Quoi faire si vous souffrez de vertiges? Il est recommandé de consulter votre chiropraticien afin que celui-ci puisse évaluer votre condition. Le chiropraticien tentera de déterminer la source de vos vertiges. Si les vertiges semblent être causés par une condition ne pouvant pas être traitée par des soins chiropratiques, il pourra alors vous référer vers le professionnel de la santé approprié. Par contre, si vos souffrez de vertiges positionnels bénins, le chiropraticien pourrait être en mesure de vous aider. Il existe une manœuvre appelée “manœuvre d’Epley” qui vise à soulager les symptômes associés aux vertiges positionnels bénins. Votre chiropraticien sera en mesure de vous enseigner cette manœuvre. Il pourra également vous donnez des conseils et des recommandations dans le but de prévenir la réapparition des symptômes.

La chiropratique et l’ergonomie du poste de travail

La chiropratique et l'ergonomie du poste de travailDe nombreuses personnes passent la majorité de leur temps assis à un bureau ou devant un ordinateur. Il est important de savoir que la position assise engendre beaucoup de stress sur la colonne vertébrale, surtout si la façon de vous asseoir n’est pas appropriée. Sans être ergonome, il serait bénéfique pour vous de prendre quelques minutes afin de vous assurer que votre poste de travail est correctement ajusté. Voici quelques points à considérer :

1.  Assurez-vous que vos genoux soient fléchis à environ 90 degrés.

2.  Évitez de vous asseoir seulement sur le bout de votre chaise. Votre dos devrait être appuyé sur le dossier. Il est toujours préférable d’avoir une chaise avec un support lombaire (une petite bosse dans le bas du dossier qui supporte le bas du dos). Dans le cas où votre chaise n’aurait pas de support lombaire, vous pouvez ajouter un petit coussin ou une serviette roulée dans le bas de votre dos.

3.  Vos épaules devraient être détendues, vos coudes fléchis à 90 degrés et vos poignets devraient être en ligne avec les avant-bras.

4.  Assurez-vous que la hauteur de votre écran d’ordinateur soit à la hauteur de vos yeux. De cette façon vous n’aurez pas à courber le dos pour mieux voir.

5.  Il est préférable d’avoir un bureau ayant une tablette à clavier assez large pour y placer un clavier et une souris. Lorsque le clavier ou la souris se situent sur le dessus de la surface de travail, vos muscles des épaules (ex : les trapèzes) se retrouvent constamment sous stress, ce qui pourrait causer des troubles comme des tendinites, des inconforts ou encore des maux de tête ou migraines.

Non seulement il est important de prendre quelques minutes afin de bien ajuster votre poste de travail, mais il est également recommandé de consulter un chiropraticien afin de faire vérifier votre colonne vertébrale. Même si vous n’avez pas de douleur ou de symptôme, il est possible que le fait d’être assis toute la journée ait affecté le bon fonctionnement de certaines vertèbres de votre colonne vertébrale. Le chiropraticien sera alors en mesure de corriger les problèmes avant que ceux-ci ne deviennent plus importants.

La CSST (Commission de la santé et de la sécurité du travail) a publié un excellent document portant sur l’ergonomie du poste de travail. Vous trouverez ci-dessous le lien vous permettant d’avoir accès au document :

http://www.csst.qc.ca/publications/200/Pages/dc_200_614.aspx

Les sacs d’école

Le bon sac d'écoleLes sacs d’école

Déjà le début du mois de septembre signifiant ainsi le retour à l’école. Dans vos achats pour l’école, il est fort probable que vous ayez à acheter un sac d’école à vos enfants. Le texte suivant vise à vous aider dans le choix du bon sac d’école.

Sac à dos ou à bandoulière?

Lors de votre magasinage pour les fournitures scolaires, vous aurez le choix entre plusieurs types de sac d’école. Sachez qu’il est préférable d’utiliser un sac à dos plutôt qu’un sac en bandoulière. La raison est très simple : le sac à dos possède deux bretelles ce qui permet de répartir le poids de façon égale sur les épaules, ce que le sac à bandoulière ne fait pas. En fait, avec le sac à bandoulière, tout le poids se retrouve sur une seule épaule, ce qui pourrait causer des problèmes de posture ou encore des problèmes au niveau de certaines vertèbres de la colonne vertébrale.

Les caractéristiques d’un bon sac à dos sont:

– Des bretelles rembourrées afin d’absorber le poids du sac et pour le confort sur les épaules

– Doit préférablement être de petite taille (vous évite ainsi de mettre trop de choses lourdes dans le sac)

– Il est préférable que le sac ait une attache à la taille afin de transférer une partie du poids du sac au niveau du bassin

De plus, il est important que le sac à dos soit bien ajusté. Pour ce faire, assurez-vous que le haut du sac ne dépasse pas la hauteur des épaules et que le bas du sac soit au niveau du bas du dos (le sac ne devrait pas frotter sur les fesses ou bien sur l’arrière des cuisses).

Il est aussi important de savoir que le poids maximum du sac d’école ne devrait pas dépasser 10% à 15% du poids de l’enfant. Donc pour un enfant qui pèse 100 lbs, le sac ne devrait pas être plus lourd que 10 à 15 lbs.

Vous avez peut-être pensé à acheter une valise avec des roulettes. À première vue, il peut sembler intéressant d’utiliser un sac de ce type puisque l’on tire le poids du sac plutôt que de l’avoir sur les épaules. Le problème est que vous aurez tôt ou tard à soulever le sac pour monter un escalier ou encore pour mettre le sac dans la voiture ou l’autobus.

Il est également recommandé de consulter un chiropraticien au début de l’année scolaire avec vos enfants. De cette façon, le chiropraticien sera en mesure de vérifier la santé de la colonne vertébrale de votre enfant en plus de s’assurer que leur sac d’école est bien ajusté pour eux.

Posture de sommeil

Posture de sommeilMes patients me demandent souvent quelle est la meilleure posture de sommeil? Vous vous êtes probablement posé la même question. La réponse est simple : vous pouvez dormir sur le côté ou bien sur le dos. La posture de sommeil à éviter est la position sur le ventre et ce, pour plusieurs raisons. Tout d’abord, lorsque l’on dort sur le ventre, il faut tourner la tête d’un côté ou de l’autre pour être en mesure de respirer. Cette rotation du cou que l’on maintien parfois pendant des heures, engendre un stress au niveau des vertèbres et des muscles de la région du cou et du haut du dos. Par conséquent, il est possible que le fait de dormir de cette façon vous cause des raideurs ou des douleurs au niveau du cou, des restrictions de mouvements ou encore des problèmes comme des maux de tête ou des migraines. De plus, le fait de dormir sur le ventre peut causer de l’irritation au niveau du bas du dos ou du bassin, surtout si votre matelas est très mou et que vous renfoncez dedans.

Afin d’éviter tout problème, il est conseillé de dormir sur le dos ou sur le côté. Si vous voulez dormir sur le côté, assurez-vous de garder les jambes une par-dessus l’autre (comme la position fœtale). De cette façon, vous éviterez de créer une torsion au niveau du bas du dos. Vous pouvez également placer un petit oreiller entre vos jambes pour éviter la pression directe de vos genoux un sur l’autre. Pour vous assurer un bon soutien de votre tête, choisissez un oreiller qui sera juste assez gros pour remplir le creux entre le bout de votre épaule et le côté de votre cou. De cette façon, la région cervicale (le cou) de votre colonne vertébrale sera alignée avec la région thoracique (entre les omoplates).

Si vous dormez sur le dos et que vous avez quelques douleurs au bas du dos, il est toujours possible de placer un petit oreiller derrière vos genoux afin de les surélever. Ceci aura comme effet de diminuer la pression au bas du dos.

En terminant, prenez rendez-vous dès aujourd’hui avec votre chiropraticien afin de faire vérifier l’état de votre colonne vertébrale. Il pourra alors vous suggérer des conseils personnalisés afin d’améliorer votre posture de sommeil et ainsi vous réveiller en pleine forme.

La chiropratique et les enfants

Chiropratique et les enfantsLorsque je regarde ma petite fille de 11 mois qui rampe sur le ventre, marche à quatre pattes et commence à essayer de marcher, je ne peux m’empêcher de constater le nombre incalculable de fois que les enfants tombent. Évidement, ceci fait partie de leur apprentissage normal. Par contre, l’accumulation de toutes ces chutes peut parfois avoir des conséquences à court, moyen et long terme.

Ceci m’amène donc à parler de la chiropratique pour les enfants. Bien qu’il est rare que les enfants mentionnent des douleurs, il est possible que l’accumulation de toutes les chutes cause des restrictions de mouvement au niveau des vertèbres de leur colonne vertébrale. Ces restrictions peuvent, à long terme, causer différents problèmes tels que des maux de tête, des problèmes de posture, des déséquilibres musculaires, etc. Comme dans toute condition, il est toujours préférable de prévenir plutôt que de guérir. Par conséquent, même si vos enfants ne mentionnent pas avoir de la douleur quelque part (ou bien si votre enfant ne parle pas encore), il est recommandé de faire faire une évaluation chiropratique de leur colonne vertébrale. De cette façon, le chiropraticien sera en mesure de détecter les problèmes biomécaniques chez votre enfant et ce, avant que ces restrictions ne causent des problèmes plus importants. Il faut savoir que les soins chiropratiques pour les enfants sont extrêmement doux, sécuritaires et sans douleur pour eux. De plus, le chiropraticien sera en mesure de faire des recommandations à votre enfant afin de l’aider à améliorer sa santé. Par exemple, si vous avez des adolescents, le chiropraticien pourra recommander des exercices afin d’améliorer leur posture générale.

En terminant, si vous avez des enfants, prenez rendez-vous immédiatement avec un chiropraticien pour une évaluation chiropratique préventive de leur colonne vertébrale. Vous allez ainsi contribuer au développement normal de leur plein potentiel.

La chiropratique et les maux de tête

Maux de tête et chiropratiqueLa chiropratique et les maux de tête

Les maux de tête représentent un des motifs de consultation en clinique chiropratique les plus fréquents. Ce texte exposera quelques sources possibles de maux de tête ainsi que l’impact que les soins chiropratiques pourraient avoir sur cette condition si fréquente.

Maux de tête cervicogéniques et de tension

Les maux de tête cervicogéniques et de tension représentent probablement les types les plus fréquents de maux de tête. Ils sont causés par des restrictions de mouvement affectant les vertèbres cervicales (du cou) ainsi que de nombreuses tensions musculaires au niveau du cou et de la nuque. Les symptômes sont généralement des maux de tête impliquant toute la tête ou un seul côté, la douleur est généralement constante et des tensions ou inconforts sont fréquemment ressentis au niveau du cou ou des épaules. Il existe de nombreuses causes possibles pour expliquer ces types de maux de tête. Parmi les plus communes on retrouve : une mauvaise posture générale, de mauvaises postures au travail, le fait de dormir sur le ventre, des accidents de voiture ou sportifs, etc.

La migraine

Bien que les mécanismes exacts de la migraine restent encore à ce jour inconnus, nous savons que les vaisseaux sanguins sont généralement impliqués dans le phénomène de la migraine. Les douleurs sont souvent pulsatiles (comme si le cœur battait dans la tête) et d’autres symptômes peuvent également accompagner les maux de tête comme des nausées, des vomissements, des troubles visuels, une hypersensibilité aux bruits et à la lumière, etc. Certains facteurs pourraient prédisposer aux migraines comme les changements hormonaux notés lors des cycles menstruels, l’alcool ou autres allergies alimentaires, le stress, la fatigue, etc.

Maux de tête autres

Certains troubles de santé plus graves peuvent engendrer des maux de tête. Par exemple, une pression artérielle élevée, une tumeur ou encore une hémorragie intracrânienne. Heureusement, ces conditions sont beaucoup plus rares.

La chiropratique et les maux de tête

La chiropratique s’avère généralement très efficace pour le soulagement des maux de tête cervicogéniques et de tension. Les ajustements chiropratiques peuvent contribuer à restaurer le mouvement normal des vertèbres et à induire une relaxation musculaire de la région cervicale. De plus, le chiropraticien peut vous aider à améliorer votre posture et à corriger certaines habitudes qui pourraient avoir un impact sur vos maux de tête. Les patients souffrant de migraines peuvent également obtenir du soulagement suite à des traitements chiropratiques.

Lors de votre visite à la clinique chiropratique, le chiropraticien procèdera à une série de tests et d’évaluations afin de déterminer le type de maux de tête dont vous souffrez. Une fois le diagnostic chiropratique établi, le chiropraticien sera en mesure de vous proposer la meilleure approche afin d’obtenir le plus de soulagement possible.

Si vous souffrez de maux de tête, n’attendez plus. Consultez votre chiropraticien immédiatement. Vous n’avez plus à souffrir constamment de cette condition.

La chiropratique et le « tennis elbow »

Chiropratique et tennis elbowL’épicondylite latérale ou le « tennis elbow » est une condition de santé très fréquente pouvant être responsable de douleur au niveau des coudes et des avant-bras.

Qu’est-ce que c’est?

Le « tennis elbow » est en fait une irritation au niveau de l’insertion des tendons des muscles de l’avant-bras. Cette insertion est située au niveau de la partie externe du coude et elle peut s’irriter lorsque les muscles des avant-bras travaillent de façon trop intensive. Contrairement à ce qu’on pourrait penser, ce n’est pas les joueurs de tennis qui souffrent le plus de cette condition. En fait, les gens qui travaillent beaucoup à l’ordinateur et qui cliquent des centaines de fois sur leur souris (mouvements répétitifs) sont généralement ceux qui en souffrent le plus. Il arrive même que la condition soit si douloureuse qu’il est difficile de continuer à travailler.

Signes et symptômes

Les signes et symptômes de l’épicondylite latérale sont généralement une douleur au niveau de la portion extérieure du coude (directement sur la petite protubérance osseuse), une douleur lorsque le poignet est fléchi complètement, une douleur lors d’une extension forcée du poignet, une douleur ou des faiblesses lorsque l’on prend un objet (une tasse de café par exemple).

La chiropratique et l’épicondylite latérale

Si vous croyez souffrir d’une épicondylite latérale, consultez immédiatement votre chiropraticien. Comme à l’habitude, il est généralement beaucoup plus facile de traiter une condition de santé lorsque celle-ci débute plutôt que d’attendre que la condition devienne chronique.

Le chiropraticien est apte à faire les tests nécessaires pour confirmer que vous souffrez bel et bien d’une épicondylite latérale et non d’une autre condition. Par la suite, grâce aux ajustements chiropratiques pratiqués au niveau du coude, du poignet et parfois même au niveau du cou (en effet, les nerfs qui contrôlent les muscles des avant-bras circulent entre les vertèbres du cou), le chiropraticien pourra diminuer le niveau de tension dans les muscles des avant-bras et assurer un meilleur fonctionnement des articulations environnantes, favorisant ainsi une guérison du coude. Le chiropraticien pourra également vous donner différents exercices afin d’accélérer le processus de guérison de votre condition et des conseils pour prévenir la réapparition de ce problème.

Le syndrome du tunnel carpien

Tunnel carpien

La présence d’engourdissements dans les mains n’indique pas nécessairement la présence d’un syndrome du tunnel carpien. En fait, il existe de nombreuses conditions de santé pouvant causer ces symptômes. Si vous avez ces symptômes, il est important de consulter le chiropraticien afin de déterminer la cause exacte du problème.

Le syndrome du tunnel carpien

Le syndrome du tunnel carpien représente une compression affectant le nerf médian, nerf responsable de la sensibilité de la peau du pouce, de l’index, du majeur ainsi qu’une petite portion de l’annulaire. Il arrive que le nerf médian se retrouve comprimé lors de son passage au niveau du poignet. Généralement, les symptômes causés par un syndrome du tunnel carpien sont des engourdissements et des douleurs au niveau des quatre premiers doigts de la main. Très souvent, les douleurs sont ressenties la nuit et peuvent même empêcher la personne de dormir. De plus, dans les cas plus sévères, il est possible d’avoir des faiblesses musculaires dans les mains.

Le syndrome du rond pronateur

Le syndrome du rond pronateur ressemble beaucoup au syndrome du tunnel carpien. Dans les deux cas il s’agit d’une compression du nerf médian. Toutefois, dans le cas du syndrome du rond pronateur, le nerf médian est comprimé au niveau de l’avant-bras par un muscle appelé le rond pronateur et non au niveau du poignet. Les symptômes sont généralement plus rares la nuit et il est rare d’avoir des faiblesses au niveau des mains.

Compression de vaisseaux sanguins

Il est également possible qu’un des vaisseaux sanguins amenant le sang au niveau de la main se retrouve comprimé quelque part dans l’épaule ou le bras. Dans ce cas, des engourdissements et le sentiment d’enflure pourraient être ressentis au niveau de la main. On nomme cette condition le syndrome du défilé thoracique.

Comme vous voyez, il existe plusieurs conditions pouvant être responsables d’engourdissements dans les mains. Le chiropraticien sera en mesure de faire différents tests afin de pouvoir préciser la cause de vos symptômes et ainsi choisir le type de traitement que vous nécessitez. Comme à l’habitude, il est préférable de consulter le chiropraticien immédiatement lorsque les symptômes commencent afin de pouvoir corriger la situation le plus rapidement possible.

Quelques conseils pour prévenir les blessures si vous prévoyez retourner à l’entraînement

Le retour à l'entraînement

Pour plusieurs, le mois de janvier représente le temps idéal pour retrouver de bonnes habitudes de vie telles que mieux s’alimenter et s’entraîner sur une base régulière. Toutefois, il est important de garder en tête certains conseils afin de prévenir les blessures lors d’un retour à l’exercice.

Tout d’abord, je vous conseille de choisir un type d’activité que vous aimez vraiment. Il peut s’agir d’aller marcher, d’aller s’entraîner dans un gym ou encore de recommencer à utiliser le tapis roulant qui accumule la poussière dans le sous-sol. Peu importe ce que vous choisirez, si vous aimez votre activité, vous aurez moins de risque de cesser après seulement quelques semaines d’entraînement. Le secret est d’avoir du plaisir lorsque vous pratiquez cette activité.

Mon deuxième conseil s’adresse surtout aux gens qui voudront aller s’entraîner dans un gym. Je vous conseille fortement d’utiliser les services d’un entraîneur afin de vous assurer une certaine supervision face au choix des exercices ainsi qu’à leur exécution. Une fois que vous serrez à l’aise avec la routine d’exercices, vous pourrez poursuivre seul l’entraînement. Certains exercices semblent plus simples qu’ils ne le sont en réalité.

Il est également important d’augmenter l’intensité des entraînements de façon graduelle. En effet, le corps a besoin de temps afin de s’adapter aux nouvelles activités. Vous risquez donc de vous blesser si vous augmentez l’intensité de vos entraînements de façon trop rapide.

Les étirements et les échauffements sont également très importants. L’échauffement est généralement recommandé avec de commencer le programme d’entraînement afin de s’assurer d’un bon apport sanguin au niveau des muscles. Les étirements sont utiles à la fin de notre entraînement afin de relaxer les muscles ainsi que pour éliminer une partie de l’acide lactique accumulé dans les muscles.

Pour terminer, faites attention au proverbe « No pain, no gain ». En fait, suite à un entraînement, il est normal d’éprouver certains inconforts pouvant persister pendant 24 à 48 heures. Par contre, aucune douleur ne devrait être ressentie pendant l’entraînement ou plus de 48 heures après un entraînement. Si c’est votre cas, consultez votre chiropraticien sans attendre. Il pourra vous aider à identifier et corriger le problème, tout en s’assurant de prévenir les blessures potentielles.